Nouvelle loi drone

Salut Damien,

D'un côté il est noté qu'il faut mettre une étiquette visible à 30 cm sans démontage et de l'autre il est dit extérieur ou intérieur de l'avion.

Alors....!!!!!!

C'est le numéro d'enregistrement que tu dois opposer sur chaque modèle. Exemple : UAS-FR-123456.

Pour l'instant j'ai inscris 3 modèles : un multirotor DJI 550 et deux avions.

Par contre je ne vois pas comment coller cela proprement sur un avion. Faudrait investir dans une machine transfert ?

Bonjour

C'est bon je suis en règle ,mais cela a été long car alpha tango à ou avait des pb avec les serveurs de free

L'enregistrement est facile , mais lors de la composition du mot de passe du compte il faut bien veiller à avoir un chiffre une lettre majuscule , une minuscule et un caractère special , sinon il ne l'accepte pas

Pour ce qui est des avions une seule catégorie : motorisé à voilure fixe, pour les planeurs c'est OK.
A partir d'un enregistrement on peut creer les autre en changeant juste ce qui est modifié ( Un site officiel qui est pratique c'est nouveau )

Pour ce qui est de l'immatriculation , il me reste des lettres transferts de mes enfants , je vais les utiliser , cela fera immat style grandeur

Gerard

Damien25 a écrit:Salut à tous,

Par contre, le courrier de la fédé parle d'une immat' ?  et rien sur le site de la DGAC... On en sait plus ?

@++

Damien

Ci joint la note DGAC

Nouvelle mise à jour pour la loi drone (aéromodèle sans personne à bord), à partir du 1er juillet 2020 la pose d'une balise wifi devient obligatoire pour les modèles de plus de 800grs. Voir ici FAQ de la FFAM

Un exemple de balise Wifi Chez Dronavia

120 € ht. On peut dire quand même qu'ils accrochent pas les chiens avec de la saucisse.
Franchement, qui va pouvoir se permettre de payer 150€ par modèle de + de 800 gr hors terrains AIP ?
Même un FunCub va y avoir droit.
Au pire, n'enregistrer qu'un modèle sous AlphaTango et reporter ce numéro sur tous les modèles correspondant. Car on immatricule des modèles sans donner la moindre caractéristique de taille, de couleur ou de forme. L'essentiel étant d'avoir un n° visible.
En France on n'a pas de pétrole mais on a aussi de drôles d'idées
Phil.

Bonjour,

Il est clair qu'une telle pratique tarifaire a l'effet inverse de celui recherché.

C'est un peu le cas dans d'autres domaines : L'augmentation du tarif et du nombre de points de contrôle pour le CT des automobiles, incitent les propriétaires de véhicule à ne plus respecter l'intervalle de deux ans.

Au final, nous, aéromodélistes qui pratiquons depuis plus de 40 ans sans aucun problème, subissons le comportement irresponsable d'utilisateurs de multirotors qui font n'importe quoi, sous prétexte que leur matériel est capable de voler et filmer tout seul.

De toute façon, l'état ne peut pas mettre un fonctionnaire à disposition sur tous les sites de vol non répertoriés.
Nos sites de vol planeur ne sont pas près d'installations stratégiques ou en agglomération, il y a donc peu de chance que l'on puisse être contrôlés.

Je crois que je vais réparer mon OCEL cela me fera un 3axes de 440gr pour voler sans transpondeur derrières chez moi !

Gerard

Philaero a écrit:120 € ht. On peut dire quand même qu'ils accrochent pas les chiens avec de la saucisse.
Franchement, qui va pouvoir se permettre de payer 150€ par modèle de + de 800 gr hors terrains AIP ?
Même un FunCub va y avoir droit.
Au pire, n'enregistrer qu'un modèle sous AlphaTango et reporter ce numéro sur tous les modèles correspondant. Car on immatricule des modèles sans donner la moindre caractéristique de taille, de couleur ou de forme. L'essentiel étant d'avoir un n° visible.
En France on n'a pas de pétrole mais on a aussi de drôles d'idées
Phil.

Pas tout a fait. C'est un module wifi par aéromodéliste. en effet il suffit de le déclarer une fois à la DGAC et ensuite de l'installer, mais amovible, sur chacun des avions que l'on utilise.

Voir la vidéo qui explique tout.



Je pense en particulier au remorqueurs et planeurs du club qui se font larguer à 500 mètres d'altitude comme ce samedi au terrain. Au moins avec une balise ils seront repéré par les avions qui croisent verticale terrain.

Mais ne désespérons pas, la FFAM a lancé un appel d'offre :

L’appel d’offre de la FFAM entre dans le cadre de la nouvelle loi drone et de mise en application de ses textes. L’article 4 de la loi 2016-1428 relative au renforcement de la sécurité liée à l’utilisation des drones civils prévoit que les aéronefs (de plus de 800 grammes) sans personne à bord évoluant hors d’un cadre identifié soient équipés d’un dispositif de signalement électronique.


Les aéronefs évoluant en terrains d’aéromodélisme déclarés par défaut sur les AIP « Aeronautical Information Publication » (il y en a environ 950 en France) sont dispensés, mise à part une trentaine. « Il s’agit des terrains trop proches des quelques 1600 sites sensibles sur le territoire (centrales, prisons, sites militaires…) pour lesquels le dispositif de signalement sur les aéronefs évoluant dans ces zones sera obligatoire afin que les autorités puisse savoir s’il s’agit d’une menace ou non. Nous allons donc équiper ces structures concernées. «  explique Laurent Henry, Président de la FFAM, à Aerobuzz.fr.


Le dispositif consiste en une mini-balise dont le message de signalement est constitué d’une trame Wifi unique, non chiffrée,  émis sur le canal 6 ou n’importe quel canal de la bande 2400 – 2483.5Mhz. Il devra être envoyé au maximum toutes les 3 secondes et tous les 30 mètres maximum. Outre la position, vitesse sol et cap, le message diffusé comprend le trigramme du constructeur (défini par le ministère de la Transition Ecologique et Solidaire), le modèle et numéro de série de l’aéronef.


« Afin d’être compatibles avec notre pratique, ils devront peser moins de 10g hors alimentation, avoir un encombrement maximum de 40 x 20 x 10 mm, être compatibles avec les alimentations standard utilisées en aéromodélisme et pouvant être branchés sur une sortie de récepteur, être interrogeables par l’utilisateur pour permettre à son propriétaire de vérifier, facilement via son téléphone portable les données émises et l’état de fonctionnement «  précise la FFAM. Les détails de l’appel d’offre sont consultables sur le site de la FFAM. Les réponses sont attendues pour le 15 juillet 2020.